Le vaccin contre le VPH : oui ou non?

Par Nicole Renaud, ND.A membre de l’ANAQ

Posons-nous les questions suivantes : l’immunité vaccinale est-elle définitive et durable? La vaccination protège-t-elle contre le cancer du col de l’utérus comme le vaccin Gardasil et Cervarix? D’autres questions devraient être posées : y a-t-il protection communautaire lors de la vaccination et le vaccin est-il efficace? Les vaccins peuvent-ils être parfois toxiques? Les effets adverses des vaccins nous sont-ils communiqués clairement?

Il faut lire et faire lire les livres du Dr Michel de Lorgeril sur les vaccins et comment les compagnies pharmaceutiques testent ces derniers et prouvent leur efficacité ainsi que leur rapport bénéfice-risque.  

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J’ai donc décidé, après avoir entendu, lu et vu des effets secondaires sur le vaccin contre le papillomavirus humain chez les jeunes filles, de faire le point sur ce vaccin grâce aux médecins Nicole et Gérard Délépine, oncologues. En effet, ils mentionnent que le cancer du col que les vaccins Gardasil ou Cervarix sont censés prévenir ne survient jamais avant 15 ans et très rarement avant 20 ans et encore plus rarement entre 20 et 25 ans. https://docteur.nicoledelepine.fr/gardasil-futur-scandale-sanitaire-malgre-les-alertes/. Et on administre ce vaccin aux jeunes filles dès l’âge de 9 ans.

Informations générales sur le vaccin

Il faut d’abord savoir pourquoi on a créé le vaccin Gardasil. Son indication officielle est de prévenir le cancer du col de l’utérus causé par les virus du papillome humain (HPV). Il existe plus de 150 souches de ce virus dont une vingtaine pourrait causer le cancer, mais particulièrement le HPV 16 et le HPV 18. On détermine des antigènes (substance qui peut engendrer des anticorps) dont la technologie utilise des organismes génétiquement modifiés pour cibler, pour le Cervarix les HPV 16 et 18;  les HPV 6, 11, 16 et 18 pour le Gardasil 4 ainsi que les HPV 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 pour le Gardasil 9.

Cependant, comme l’antigène doit être fixé par un sel d’aluminium, en l’occurrence le sulfate d’hydroxy phosphate d’aluminium, on suspecte cette dernière substance de favoriser les maladies auto-immunes et des effets secondaires. La compagnie Merck fabrique les vaccins Gardasil. En 2018, on a vendu plus de 200 millions de doses pour une somme de plus de 20 milliards de dollars.

Je cite un passage ici du Docteur Michel de Lorgeril dans son livre : « le raisonnement en terme de plausibilité biologique est très en faveur de l’hypothèse que les vaccins antipapillomavirus puissent favoriser (accélérer) l’apparition clinique des cancers du col de l’utérus. » D’ailleurs, en Suède, depuis que l’on vaccine contre le HPV, on assiste à une recrudescence des cancers du col de l’utérus. 

Causes du cancer du col de l’utérus

Vous devez vous demander ce qui cause le cancer. Cette maladie est multifactorielle et dépend de l’immunité de la personne. Toutefois, l’objectif du Gardasil et du Cervarix est la prévention du cancer. Ce vaccin a une efficacité sur environ 40% des infections au virus du papillome humain (HPV) et aurait une durée limitée de 7 à 10 ans. C’est dire qu’on doit répéter le vaccin tout au long de la vie. C’est la production d’anticorps par l’organisme à la suite d’un vaccin qui détermine la fréquence des rappels. En effet, au virus lui-même on doit ajouter différentes concentrations d’antigènes et un adjuvant comme l’aluminium. Une seule dose, souvent, ne suffit pas pour atteindre le maximum d’anticorps qui pourrait protéger toute la vie durant. De plus, on n’a jamais établi avec certitude le lien de causalité directe entre le cancer et le virus HPV. 

Facteurs de risque

Voici les facteurs de risques connus du cancer du col de l’utérus : l’âge précoce des premiers rapports sexuels, le nombre élevé de partenaires, les infections génitales à l’herpès et à chlamydia trachomatis, le tabagisme, un affaiblissement du système immunitaire, le statut hormonal et marital, la durée de la prise de contraception orale, le nombre de grossesses. On a répertorié tous ces risques dans le livre des Docteurs Délépine avec références à l’appui. Selon certaines recherches, la période prévaccinale (1989-2007) avec dépistage par frottis a vu l’incidence du cancer du col utérin diminuer tandis qu’à la période post-vaccinale, dans certains pays, on observe une augmentation significative du cancer du col de l’utérus dans les groupes les plus vaccinés.

Effets adverses

La différence entre un vaccin et un médicament réside sur les effets adverses. Un médicament peut avoir des effets secondaires auxquels on peut remédier tandis que pour un vaccin, il est trop tard : c’est irréversible. Chez certains sujets, la vaccination peut être dommageable puisque la réponse du système immunitaire est différente selon l’individu. Et comme on le rapporte dans les écrits, ce n’est pas parce que vous êtes vacciné que vous êtes protégé.

Pourquoi est-ce que je m’intéresse à ces recherches? Parce que des victimes japonaises ont demandé de retirer la recommandation du vaccin; on l’a suspendu en Autriche après la mort d’une jeune fille qui avait reçu le vaccin, et au Danemark, après avoir observé des effets secondaires au vaccin, on l’a considérablement réduit. Même en Espagne, Andréa, une jeune fille est décédée en 2012 à la suite du vaccin Gardasil. En Colombie, plusieurs jeunes filles sont devenues paralysées après la deuxième dose du vaccin. L’avocate Monica Leon del Rio, représente plus de 756 femmes et filles victimes du vaccin contre le HPV, intentant plus de 490 milliards de dollars contre la multinationale Merck et leur demandant de déclarer ce vaccin dangereux. Le site suivant est en espagnol, mais vous pouvez le faire traduire sur Google : https://www.eltiempo.com/podcast/degeneradas/estudios-y-dudas-sobre-la-vacuna-del-virus-del-papiloma-humano-que-cumple-diez-anos-219322

N’oublions pas que nous sommes tous différents, que la population de l’Afrique, par exemple, peut répondre différemment des Américains aux vaccins et que les substances externes de notre corps (exogènes) n’agissent pas toujours de la même manière chez les individus. Dès lors, on ne peut prétendre que la vaccination protège contre le cancer. 

Références :

  • Délépine, Nicole et Gérard : 2018. Hystérie vaccinale Vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe. Paris. Fauves éditions
  • De Lorgeril, Michel : 2018. Introduction générale à la médecine des vaccins. France. Éd. Chariot d’Or.
  • De Lorgeril. Michel : 2019. Analyse scientifique de la toxicité des vaccins. France. Éd. Chariot d’Or.
  • Georget, Michel : 2011. Vaccinations Les vérités indésirables. France. Éd. Dangles.

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