Alléger les urgences avec l’homéopathie
C’est fou à quel point un événement au départ malheureux peut s’avérer bénéfique et déclencher un grand changement de trajectoire qui allègera toute une vie.
J’avais 25 ans, étudiante à la maîtrise, enceinte de 8 mois, lorsque la plaie d’une piqûre de guêpe bien infectée, rouge, brûlante, m’a valu une prescription de 10 jours d’antibiothérapie. Ma prescription à la main, en pleurs, j’ai appelé mon nouvel homéopathe chez lequel les miracles se succédaient depuis quelques mois. Il m’a simplement dit: « Prends une dose d’Apis Mellifica en 30 CH, et si ce n’est pas parti après une demi-heure, prends une autre dose. » Et il a raccroché.
Je me suis exécutée. En 20 minutes, l’énorme plaie écarlate avait COM-PLÈ-TE-MENT disparu. C’est là, sur la rue Saint-Denis, la mâchoire au sol, le souffle coupé, les yeux figés sur le tube, que j’ai eu pour la première fois la ferme intention d’étudier l’homéopathie. Et durant les 30 dernières années, je ne compte plus les fois où cette médecine a allégé notre vie et celle de mes patients.